Suricat, quoi de neuf ?

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Quoi de neuf aujourd'hui ?

Si vous voulez savoir à quoi ressemble un vrai suricate, regardez la galerie des suricates ou l'article de WikipediA sur ces charmantes bestioles. Notez au passage, que suricate prend un "e" :-)

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En septembre 2007, j'achetais mon premier clavier rétro-éclairé, un Logitech G11. 16 ans de bons et loyaux services mais malheureusement la touche « ç » me lâche. Je suis donc parti à la recherche d'un remplaçant.

Mes critères étaient :

• clavier rétro-éclairé. Je travaille souvent dans l'obscurité tard le soir chez moi et j'aime ce confort bien que je frappe sans regarder mes doigts. Pas besoin d'une option boite de nuit ;
• des touches programmables. 54 touches sur le G11, je n'ai clairement pas besoin d'autant de combinaisons, mais une dizaine ce serait bien et surtout sur des touches dédiées, pas de reprogrammation de touches existantes ;
• une frappe silencieuse pour exclure les claviers mécaniques trop bruyants ;
• pas besoin d'un sans-fil.

En option :

• la touche « bouton droit » de la souris placée à droite de la barre d'espace
• un repose poignet

En bonus :

• les touches multimédia, en particulier le volume

Je me suis naturellement tourné vers Logitech, mais j'ai été peu séduit par les solutions proposées notamment en matière de touches programmables et j'ai fini par porter mon choix sur Corsair K55 RGB PRO XT.

Il remplit 100% de mes pré-requis pour un tarif un peu élevé à mon goût mais dans les prix classiques pour ce type de produit (80€). J'avais le choix de prendre sans le XT, et bien que je n'ai pas dans mes pré-requis le mode boite de nuit, je trouvais amusant pour le même prix de pouvoir personnaliser toutes les touches en rétro-éclairage. Et c'est évidemment avec lui que je tape ce billet de blog.

Mes premières impressions sont très bonnes. Je ne suis pas dépaysé sur la position des touches, le clavier ne glisse pas sur mon bureau, le support de poignets est en plastique confortable. La frappe est tout à fait ce que je voulais, douce et globalement silencieuse à l'exception notable de la barre d'espace qui fait un son plus creux et plus sec. Je pense que je vais finir par m'y habituer ou peut-être faire évoluer ma frappe (ce sera difficile). J'ai par ailleurs 6 touches programmables distinctes sur la gauche du clavier. C'est moins qu'avant mais cela devrait suffire. Il est dommage que ces touches ne soient pas accessibles également par des touches de modification (alt/altgr/ctrl/maj) ce qui augmenterait grandement les possibilités. Il est à noter que ces touches sont compatibles Stream Deck. Je n'ai pas cet usage mais cela pourrait intéresser d'autres personnes. Enfin je m'amuse beaucoup avec le rétro-éclairage. Réglable mécaniquement sur 5 niveaux d'intensité et éteint, j'ai bien sûr pu reproduire le fond bleuté auquel j'étais habitué, mais je me suis amusé à faire autre chose pour voir et c'est fun. Je ne comprends par contre pas du tout pourquoi les touches multimédias ne sont pas rétro-éclairées alors qu'on les cherche souvent de nuit. Étrange choix.

Il est à noter que les fonctions avancées pour le rétro-éclairage ou la reprogrammation des touches s'appuient sur un logiciel supplémentaire, iCUE. Ce dernier permet également de gérer plusieurs profiles et l'on peut facilement imaginer des configurations différentes selon le logiciel utilisé. En l'absence, il est toujours possible de faire de la programmation de macros sur les 6 touches et de changer des modes pré-programmés de rétro-éclairage, donc ça m'irait aussi (notamment en usage Linux).

Ce petit bilan rapide pour dire que je suis tout à fait satisfait de cet achat et que j'espère bien qu'il sera aussi durable que le précédent !

https://github.com/awesome-selfhosted/awesome-selfhosted

Je ne veux pas le perdre, je le mets là où je ne mets plus rien :-)

(source)

(Par mirmagnium)

Désolé pour la vulgarité émanant dans la traduction de "la passante"

Wesh la rue fait du booordel.
La demoizzelle était bonne,
Elle passa devant ouam,
Elle bougeait du cul dans son jean moulant

Sa jambe était trop belle wesh
Moi je picole mon 51, tranquille,
Elle mattait bizarre le monde,
Mais c'était stylé sa mère.

Elle est passée en un éclair,
Mais en la voyant, je veux m'la faire,
Je te recroise a Boulogne ?

Mais c'est loin de Paris, dehors,
J'veux pas finir sur #balancetonporc
Je sais pas où tu vas, moi je vais me fapper,
Tu m'as a jamais changé

(Faut bien un peu de poésie a la fin quand même!! )

Version originale (À une passante Charles Beaudelaire)

La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Quote #19469

Je crois que Douglas Adams n'a jamais donné d'explication mais j'aime celle-ci.

Et pour moi le combat est contre les normes sociales, contre le poids du conformisme (dont certaines femmes sont les premiers vecteurs), contre le patriarcat, et non contre les hommes, dont beaucoup font ce qu'ils peuvent entre leurs aspirations (et désirs) personnels et le poids des siècles, dont pour le meilleur et pour le pire ils ont hérité.

Lire : ce qu'est d'être une femme

Bon mois d'avril :-)