Suricat, quoi de neuf ?

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Quoi de neuf aujourd'hui ?

Si vous voulez savoir à quoi ressemble un vrai suricate, regardez la galerie des suricates ou l'article de WikipediA sur ces charmantes bestioles. Notez au passage, que suricate prend un "e" :-)

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Parlons un peu BD... Un graphisme moderne fortement tinté d'informatique, un trait clair, une sensibilité à fleur de peau... Elle n'aime pas l'équipe (ce dont je me tampone), porte des chapeaux étranges, a une petite fille, reprend des cours de dessin, se cherche un amoureux et a un style qui me plait. Bref, allez voir, c'est chouette...

Laurel, un crayon dans le coeur

Je n'y crois pas... Dire que je suis choqué reste faible. Comment des parents peuvent-ils avoir la faiblesse de faire ça... De quoi je parle ? De cette article du Monde d'aujourd'hui Des enfants sages sur ordonnance.

Dérivé amphétaminique classé au tableau des stupéfiants, le méthylphénidate est un psychostimulant agissant sur le système nerveux central. Indiqué dans le traitement du trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) chez l'enfant de plus de 6 ans, il a pour propriété d'aider les jeunes patients à mieux fixer leur attention, ce qui lui a valu le surnom de "pilule de l'obéissance".

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"On ne peut pas nier que cette molécule soit très liée à la scolarisation", confirme Marie-France Le Heuzey, pédopsychiatre et chef de service à l'hôpital Robert-Debré, à Paris, établissement pionner dans la prescription de Ritaline.

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Le neuropédiatre Louis Vallée, chef du service de neuropédiatrie du centre hospitalier universitaire de Lille, estime ainsi que seuls 10 % des enfants dits hyperactifs ont besoin de Ritaline. "Les 90 % autres relèvent de problèmes éducatifs et sociologiques, leur comportement est une réaction à leur environnement", affirme-t-il.

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"Quand on prescrit de la Ritaline, le mystère reste entier", renchérit Bernard Golse, pédopsychiatre et chef de service à l'hôpital Necker-Enfants-malades, à Paris. "Il reste à éclaircir le sens des troubles dans l'histoire de chaque enfant."

Comment peut-on arriver à une telle société qui n'accepte pas ses responsabilités ? Alors tous nos malheurs ne sont que la faute des autres... Et je porte plainte contre McDO quand je grossis, contre Gitanes pour mon cancer des poumons et un médoc pour le morveux que je puisse regarder la Star'Ac tranquille ?

Je comprends qu'il puisse y avoir des gamins atteints de superactivité. Franchement, ce doit être dur à vivre pour eux, mais que l'on shoote des mômes un peu agités pour avoir la paix... Evidement que mon gamin me casse les pieds par moment, normal. Je n'ai pas le même rythme de vie que ma progéniture ni les mêmes centre d'intérêts. Mais pour autant je ne m'en débarasse pas à coup de pilule, sinon j'aurai acheté un Aïbo (note que je veux bien un Aïbo quand même :-)

Merde alors...

Au détour du web il nous arrive de tomber sur des perles... Celle-ci est cynique à souhait et j'aime tellement ça !

Histoire à prendre au second degré ? Réalisée par des polonais, il y a fort à parier que le second degré ne soit pas la meilleure lecture de cette petite merveille. La réalisation graphique est irreprochable, une gamme de couleur parfaitement équilibrée et une très juste réalisation. Le naratif quoique simplifié à l'extrème apporte toute sa touche minimaliste à cette expression artistique militaire.

Vraiment une très très belle réalisation.

Fallen Art à voir impérativement.

Peut-être me suis perdu ? Il est pourtant simple de suivre les chemins, même les chemins de campagne... Et si je reprennais ce blog ?

Je suis retourné ce week-end chez Lise et Bertrand à Montlouis faire quelques photos. Au départ je devais leur présenter le travail du mois de mars, mais le hasard en a voulu autrement. J'ai eu de la chance, une belle lumière et un joli ciel, j'ai pu passer deux heures dans la vigne - et deux bonnes heures de marche pour rentrer chez moi :-)